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Juillet 2024

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Le Scéléen

Bulletin d'information municipal.

Numéro 7, mai 2024

La République du Centre

Publié le 11/01/2023

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La République du Centre

OH' Le magazine d'Olivet

Décembre 2020

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Le traiteur Boissonnet repris par deux employés() Jean-Pierre et Marie-Claire Boissonnet passent le flambeaux à Clément et Jennifer Mouroux. © El Younssi Moncef

 

Le traiteur Boissonnet repris par deux employés

La République du Centre

Publié le 02/01/2014

Jean-Pierre et Marie-Claire Boissonnet, anciens propriétaires du traiteur éponyme (rue de l'Argonne), ont cédé leur fonds de commerce à Jennifer et Clément Mouroux, leurs anciens employés.« Nous sommes heureux de la continuité du commerce », déclare Jean-Pierre Boissonnet. L'entreprise artisanale, ouverte depuis plus de 26 ans, est passée de deux employés au départ à huit aujourd'hui. Les repreneurs gardent une partie du personnel, espérant embaucher à l'avenir. Eux se sont connus chez leurs anciens employeurs. « On en a marié quelques-uns », plaisante Marie-Claire. Amour et travail font parfois bon ménage !

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Valentin, Clara et Baptiste, les trois petits-enfants de Claude Mouroux, ont vu leur papy à la télé. Ils onttrouvé ça normal. Ils sont habitués à le voir avec son camion. © LA REP Photo

Le charcutier de Sceaux ce soir sur France 2

La République du Centre

Publié le 21/11/2012

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Claude Mouroux, le charcutier de Sceaux-du-Gâtinais, repasse à la télé ce soir. Il apparaît de nouveau dans « La parenthèse inattendue », la nouvelle émission de Frédéric Lopez diffusée chaque mercredi soir, à 22 h 30, sur France 2.

Le 1 er novembre, il avait servi Adriana Karembeu, Garou et François-Xavier Demaison. Ce soir, il propose ses produits à Natasha Saint-Pier, Kad et Olivier et Marc Veyrat.

Le principe de l'émission est simple : des personnalités qui ne se connaissent pas et qui viennent d'univers différents acceptent de faire une pause dans une maison de campagne, loin des plateaux télé et de leur quotidien.

Il n'est pas en terre inconnue

C'est dans la cour de cette maison, dont la localisation reste secrète, que Claude Mouroux arrive avec son camion et fait comme si de rien n'était. Comme si cette étape était au menu des tournées qu'il effectue. Avant que Frédéric Lopez ne jette son dévolu sur cette maison, le charcutier venait servir sa propriétaire. Même s'il y a des caméras en plus, il a ses repères. Il n'est pas en terre inconnue.

« En revanche, je ne sais pas sur qui je vais tomber. La première fois, lorsque j'ai vu Adriana Karembeu, ça m'a fait quelque chose. Elle est très jolie », glisse Claude Mouroux. « Pour le deuxième tournage, avec Marc Veyrat, j'ai regardé si tout était bien rangé dans mon camion. Il m'a demandé de l'agneau. » Il se souvient que Kad est arrivé en jouant de la guitare. Il a trouvé Olivier timide et a parlé de Garou à Natasha Saint-Pier. Il ne sait pas quelles scènes vont rester après le montage des images. « Après la première émission, je n'étais pas inquiet. On verra bien pour la deuxième. J'assume. »

Cette aventure télévisuelle a commencé début septembre par un message laissé sur le répondeur. « Le dimanche après-midi qui a suivi ce coup de fil, j'ai emmené mes trois petits-enfants visiter la cathédrale de Sens. On a croisé Sandrine Bonnaire. Ma femme ne me croyait pas. Heureusement, c'était dans le journal », raconte Claude Mouroux. Après avoir rappelé la production et s'être fait préciser les choses, le charcutier de Sceaux a accepté de participer à l'émission, tout en privilégiant ses tournées aux tournages : « J'ai donné ma parole. Avec les fêtes de Noël, ça ne m'arrange pas mais on pourra en refaire un. »

Le camion est à tout le monde

Installé à Sceaux depuis le 1 er juillet 1983, Claude Mouroux est fier de ce qui lui arrive. Un coup de bol qui permet de parler de l'artisanat : « Je ne pense pas à la retraite mais ça donne envie de continuer. Tant que la santé suit, je ne me vois pas arrêter. »

Depuis l'émission du 1 er novembre, le camion du charcutier fait partie du paysage cathodique. Il est à tout le monde. Un certain nombre de personnes en ont profité pour donner des nouvelles. Comme s'ur Marie qui était basée à Corbeilles. « Elle est à la retraite, à Nantes. Elle croyait que nous étions également à la retraite. Nous avons eu des mails ou des appels de clients qui habitaient dans le coin il y a une dizaine d'années, de la famille en Belgique », note Claude Mouroux.

Clara (8 ans), Valentin (6 ans) et Baptiste (3 ans), ses petits-enfants, ont été moins troublés. « On avait enregistré l'émission », expliquent Jennifer et Clément, leurs parents. « Ils ont trouvé ça normal. Ils sont habitués à voir leur papy avec son camion. »

Lors des deux tournages, Claude Mouroux était accompagné d'Alice, sa fille aînée. La prochaine fois, il ira peut-être avec Clément, son plus jeune fils, traiteur de profession avec qui il travaille.

Alexis Marie.

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